Luminothérapie contre la dépression saisonnière des parisiens

Il est facile de se sentir déprimé l'hiver, lorsque la durée du jour faiblit.
Les Parisiens bénéficient l'hiver de moins de lumière (65h en novembre, 49h en décembre, 63h en janvier, 90h en février), contre une moyenne de 200h de lumière par mois, l'été.
Le manque de lumière du jour a un impact négatif sur la santé, diminue la quantité de vitamine D et de sérotonine, ce qui contribue à la dépression hivernale.
L'idée serait de mettre en place des points de luminothérapie dans certains lieux publics, pour compenser le manque de luminosité des mois d'hiver.
Par exemple de disposer, dans les espaces à proximité des guichets du métro, des sources de luminosité, d'une puissance de 10 000 lux, installées sur les murs, qui pourraient être utilisées par les voyageurs qui le souhaitent, en position debout.

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